Le pitch
La DB12 prend la succession de la DB11 au rôle de la GT 2+2 à moteur avant de la gamme. La DBS Superleggera se préparant elle aussi à disparaître du catalogue, il s’agira du seul modèle de ce genre chez Aston Martin en attendant l’arrivée d’une possible remplaçante de cette DBS Superleggera. Et il s’agit d’une grosse remise à jour plutôt que d’un vrai modèle.
Les specs et les perfs
La DB11 était disponible aussi bien avec le V8 que le V12 mais la DB12 ne garde que le huit cylindres. Il développe 680 chevaux et 800 Nm de couple sous son long capot, ce qui reste moins véloce que sous celui du DBX 707 (707 chevaux et 900 Nm). Le 0 à 100 km/h est annoncé en 3’’6 et la vitesse de pointe à 325 km/h.
Le châssis
Avec une masse à sec annoncée à 1 685 kg à sec, la DB12 joue les poids plumes dans la catégorie des GT 2+2 de luxe. D’après Aston Martin, son châssis en aluminium a été rigidifié par rapport à celui de la DB11. Et grâce à la combinaison d’une suspension entièrement repensée, d’un différentiel électronique et d’une mise au point sérieuse, ce serait « L’Aston DB la plus efficace de tous les temps ». Il y a aussi des freins carbone-céramique, mais uniquement en option.
Le look
Conforme à ce que vous pouvez attendez d’une grande GT Aston Martin. La DB12 ne révolutionne pas le style de la marque et ne fait que modifier celui de la DB11, avec une allure très « Vanquish » depuis le trois quarts avant. Les progrès à l’intérieur sont notables avec une interface numérique bien plus moderne par rapport à l’ancien système de la DB11.
Le prix
On ne le connait pas pour l’instant mais il s’alignera probablement sur celui des Bentley Continental GT, Ferrari Roma et Maserati GranTurismo dans leurs versions hautes.
L’opinion
La DB12 ressemble à une vraie Aston Martin et possède sur le papier de quoi incarner parfaitement le rôle de la GT de luxe polyvalente. Progressera-t-elle au niveau de son efficacité dynamique, après l’amortissement moyennent rigoureux de l’ancienne DB11 ? Réponse lors d’un prochain essai…