Mini vient de dévoiler les premières images de la cinquième génération de sa citadine « moderne » depuis le rachat de la marque anglaise par BMW à la fin des années 90. Pour l’instant, il faut se contenter de quelques clichés montrant la version électrique, avec une grosse calandre fermée et des détails similaires à la Cooper SE du modèle actuel. Non seulement le design de cette nouvelle Mini surprend agréablement au niveau des proportions et de son esprit, mais il y a peut-être aussi de bonnes nouvelles sous le capot. Bon, évacuons déjà les deux variantes électriques qui devraient s’équiper de batteries de capacité de 40 et 54 kWh, de façon à proposer des autonomies comprises entre 385 et probablement près de 500 kilomètres (avec des puissances allant de 185 à 220 chevaux).
On sera davantage intéressé par les déclinaisons thermiques, avec des versions sportives toujours présentes au catalogue d’après les journalistes d’Autocar. On ignore si Mini gardera une version Cooper S mais d’après les Anglais, le constructeur prévoit bien une déclinaison John Cooper Works développant environ 250 chevaux (probablement via un quatre cylindres turbo de 2,0 litres comme le modèle sortant).
Contrairement à Audi avec son A1 qui n’a plus rien de sportif, Mini restera ainsi sur le segment des citadines sportives. Assurément une bonne nouvelle au moment où toutes les petites GTI semblent disparaître. Maintenant que la Fiesta ST n’est plus disponible, il ne reste plus que la Hyundai i20 N et la Volkswagen Polo GTI moyennement intéressante à piloter. La nouvelle Mini thermique sera dévoilée dans les semaines à venir et sa commercialisation débutera d’ici la fin de l’année.